Un week-end en Bourgogne, c'était l'occasion de rencontrer un de nos producteurs préférés de la région : Bernard Boisson-Vadot.

Ses vins sont tellement demandés qu'il est passé au système d'allocations. Il ne suffit donc plus de vouloir acheter ses vins pour en obtenir ! Il en est de même pour ceux de ses enfants, Pierre Boisson (ami avec le fils Coche-Dury, pour les connaisseurs) et Anne Boisson.

Nous avons rencontré quelqu'un d'une très grande humilité qui simplement "essaye de faire au mieux chaque minuscule détail de la production de ses vins" pour le plus grand bonheur de nos papilles.

Nous avons eu droit à une jolie dégustation, qui s'est achevée sur le partage d'une bouteille pas prévue "puisque vous êtes sympatiques" : un meursault 1990.

Depuis, c'est toujours avec grand plaisir d'ouvrir une bouteille de ce fabuleux viticulteur !

Bordeaux : la ville de mes rêves, celle où j'allais venir vivre quelques semaines plus tard mais que je n'avais vue qu'une seule journée dans toute ma vie, près de 15 ans auparavant !

Départ en TGV à 6h du matin de Paris Montparnasse pour une journée de visite d'appartements (dont 2 le matin, terminée à 12h pour la seconde), un froid glacial, et pas de RDV avant 14h30 : bref, une excellente raison pour aller me poser dans un restaurant bien chauffé et où je pourrai manger un plat consistant ! Mon cher et tendre n'a pas hésité une seconde : "va à la Tupina" (www.latupina.com) car "leur poulet roti et frites maison déchirent".

A peine entrée dans le restaurant, j'approuve son conseil sur le choix du restaurant...

...mais un autre plat que le poulet rôti me fait de l'oeil sur la carte : "Macaronnade aux ris de veau, foie gras, cèpes et truffe"

Verdict :
Un plat comme on en mange rarement, mais quel bonheur ! Exactement le plat dont j'avais besoin, je n'ai pas eu froid de l'après-midi !